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MES CONVICTIONS

 Être Agriculteur bio & artisan meunier, c’est un engagement 

Vous êtes en tant que consommateur au cœur de mes préoccupations.

Tous les ans, je me pose la question : qu’est-ce que je vais faire pousser pour satisfaire vos besoins en bio ?

En cohérence avec la capacité de mes sols, l’exposition des terres et les aléas du changement climatique.

Par mon action, je souhaite proposer une offre de qualité :
Saine : équilibrée, naturelle et nutritive
Cohérente : diversifiée, logique et de bon sens
Locale : de proximité, du champ à l’assiette « des voisins »

Je me sens responsable de mes actions et je m’engage pour :
Agir au service d’une alimentation de qualité.

Mon rôle aujourd’hui, c’est de cultiver des produits sains, diversifiés et bons pour notre santé.

De vous à moi, je dois vous avouer qu’il m’arrive d’avoir envie de piquer des coups de gueule. En 2024, on n’a plus le droit de dire qu’on ne sait pas : l’industrie agroalimentaire a été une catastrophe ces trente dernières années. On donne de la merde à bouffer aux gens (oui il n’y a pas d’autre mot). On n’a plus le droit de faire ça, de contribuer à rendre malade la population, de détruire le vivant, on n’a plus le droit. Peut-être que c’est un truc de vieux d’y être plus sensible... mais bon, j’assume !

Proposer localement un bon et beau produit.

Mon métier, c’est de semer, récolter, transformer ma production et aussi de la fournir au plus près, en circuits courts.

Je distribue en local ce qui, au-delà d’éviter le transport inutile, permet aussi de créer des liens de partenariat forts et rassurants avec toutes les parties prenantes. Je tâche d’être disponible et à l’écoute. Si un client a besoin, je cherche comment le dépanner au plus vite !

Oeuvrer pour une agriculture durable.

Ma philosophie de travail, c’est d’observer mes terres, de les comprendre et d’en prendre soin pour régénérer les sols.

Être agriculteur bio, ce n’est pas que « ne pas mettre de produit chimique ». C’est observer, écouter et agir pour régénérer l’écosystème en ayant un impact minimum sur la biodiversité. L’agriculture biologique, c’est aimer être en lien avec le vivant. Je prends soin de mes champs, je tâche de les comprendre et d’en laisser toujours une partie en jachère. Je me demande souvent : comment faire pour que mon exploitation ait le moins d’impact sur la nature et soit en cohérence avec le climat ? La première réponse, c’est par le choix des cultures. Par exemple, je ne cultive pas de maïs car cette plante demande beaucoup d’eau et avec l’exposition au vent, elle ne se plairait pas ici (j’aimerais bien faire pousser des plantes luxuriantes...). Mon devoir, c’est de savoir m’adapter et d’être réaliste, ce qui ne m’empêche pas de rêver !

Mots de Sophie Petit issus d'un échange avec Christophe Guibert.

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